Étranger dans notre cité

- Oui... Mais, si ce n'est pas de ca pourquoi tu est ici... Tu connais ma tante ? Si oui, la prochaine fois que tu la vois dit lui que... Qu'elle ma manque et que j'aimerai qu'elle me prenne, je n'aime pas sa vivre sous la gouverne de Nienor et ses air de grandeur...

- Je lui dirai. Alors, tu as deux choix; ou tu t'en vas et tu me jures de ne rien dire à personne, où tu dois rester ici pour que je te surveille.

- Ma soeur est capable de sonder mon esprit comme rien... Je suis mieu de resté pour pas qu'elle vois par elle même ?

- Je suppose que oui alors.
Dégainant ma lame, j'enleva ma ceinture et mon fourreau et m'assis sur mon lit, ma lame nue sur mes cuisses.

Je le regarda faire.

- T'es un guerrier importent chez toi pour venir ici tout seul non ?

Je souris.
- Plutôt oui. Mais cette mission ne m'a été demandée par personne. Je suis venu de mon propre chef.

- Je ne comprend pas pourquoi tu est venue te fourrer dans le pétrin, ici. Tu savais ou moins que ma soeur à demander de faire venir tout les nouveau venue ici ? Attendre qu'il fasse de quoi et l'amené ? Tu le savais au moins ?

Je secoua la tête.
- Je connais très peu les coutumes drow.

- Ta rien a savoir a par que la femme au pouvoir est ma soeur et qu'elle règne en se foutant de tout.

Je souris.
- Bon à savoir.
À ce moment, j'hésita entre dormir pour me réveiller tôt le lendemain et continuer à la surveiller... que devais-je faire?

Je m'inquiétait pour elle. J'ouvris le porte, mais elle était bloquer.

- Erane, ouvre ! Tout de suite ! Je ne me fait pas le redire une autre fois.

Une main blanche apparaisa et du feu en sorti, il m'aveugla et je me ramasse à terre dans le coin de la chambre. Aveugler et un peu brulé... Qui à osser me faire cela, moi, la grande Matrone !

En un tourbillon, je sauta sur la matrone et posa ma lame sur sa gorge.
- Tu fais un geste menaçant et tu rejoins tes aïeules, matrone.

- Très bien... Mais je peux faire ça ?

Je le fis souffrir par me pensé, vive les don de Lolth. Je me leva et pris le bras de ma soeur.

- Toi, tu l'aidait ? Non, mais ! T'es aussi pire que le reste de notre famille ! Je suis la seule avec maman qui va sur le droit chemin ?

Elle baisa les yeux et regarda l'elfe sur le sol qui commençait à se remettre du choc.

- Je comprend, il est trop séduisant pour toi ? Tu voulais absolument l'avoir pour toi que tu t'en est foutue !

La douleur s'en allait peu à peu de mes membres, mais je n'allais pas me laisser faire. Je sauta derrière elle et plaça ma main sur sa nuque.
- Le temps dont tu as besoin pour faire ta magie est définitivement plus long que celui dont j'ai besoin pour te faire cuire, prêtresse.

- Très bien tu as gagné ! Maintenant lâche moi. Je te laisse partir sans crainte, mais ne reviens pas, jamais !

Je souris.
- Comme si je pouvais te faire confiance. Je crois que t'assommer avant serait plus sécuritaire.

- Fait moi subir toute les tortures du monde mais laisse ma soeur partir...

Je la regarda, j'était vaincu... Mon règne s'achevais.

- Erane... Si j'ai été odieuse et tout... C'était pour que tu fasse le moins de connerie possible... J''avais promis à maman de veiller sur toi... Tu n'avais que 5 ans quand elle est morte... Tu n'en t'en rappelle surement plus...

Elle me regarda même pas... Très bien, elle s'en fou...

- Ton règne continuera, matrone. Mais je dois assurer ma sûreté.
Sur ce, je pris de l'élan et lui asséna un fort coup sur la tempe qui la fit tomber comme une masse. Elle était évanouie. Je regarda Érane.
- Ou tu viens avec moi, ou tu restes. Je dois fuir maintenant.

- On l'amène... Elle... Fessait tout cela pour moi... On l'amène a ma tante elle saura quoi faire... Je t'en supplie...

Je soupira.
- Tu ne penses pas que c'est dangereux de l'amener en plein milieu d'une cité d'elfes de lune?

- Non, dans la cité invisible...

Je haussa les épaules.
- T'as de la corde et du tissus?

- Dans le pendrie... Ma soeur voulait avoir des truc de suivie dans toute les chambre en cas d'attaque...

- D'accord.
Allant dans la penderie, je pris ce dont j'avais besoin avant d'aller vers la matrone et de la ficeler aussi serré que je pouvais et de la bâillonner.
- C'est bon, on peut y aller, dis-je en la mettant sur mon épaule.